29 août 2009
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Comme sous-titre, j'aurais pu mettre "un chameau sur un dromadaire !"
En bon touriste j'ai sacrifié au rituel de la balade à dos de dromadaire (car au Maroc, il n'y a pas de chameau, celui qui a deux bosses). C'est facile à retenir : le dromadaire c'est celui qui est sur le paquet de cigarettes Camel (fumer tue !)
Si vous voulez frimer, son nom latin c'est Camelus Dromedarius et si moi je déblatère, lui il blatère.
Après le repas à la Kasbah Asmaa, nous traversons la route où nous attendent nos flegmatiques montures. Dans le groupe, certains préfèreraient en avoir un pas trop grand. Personnellement j'en ai un grand, je verrai mieux !.
On s'installe sur une couverture posée sur le dos du camélidé, on appuie sur le bouton et l'ascenseur démarre en 2 phases (comme un hélicoptère) d'abord on plonge sur l'avant puis on se tient pour ne pas rouler vers l'arrière ; volià ça y est on a décollé. on se tient aux oreilles à la crinière, bref comme on peut !
Un chamelier tire un groupe de 4 ou 5 dromadaires reliées entre eux. On longe d'abord la route, vitesse limitée à 60 (on n'a pas été pris au radar !)
puis on tourne à gauche le long de l'oued Drä qui va bientôt se perdre dans le désert (on ne croirait pas qu'il passe pas loin des dunes de Tinfou !), mais pas complètement car il ressortira du côté de Tan Tan pour se jeter dans l'Océan Atlantique.
On longe les berges reposantes de l'oued sur quelques centaines de mètres, la preuve, comme l'indique le titre de l'article :
Mon chamelier essaie de me prendre en photo, mais c'est raté par 2 fois. Ensuite on pénètre dans la palmeraie de Zagora (dont le nom vient de Tazagourt qui veut dire trésor).
C'est une succession de petits enclos entourés de murs en pisé.
Dans ces parcelles on y cultive des choux, de la luzerne.
Dans d'autres ce sont des céréales comme de l'orge.
Notez le système d'irrigation avec un canal d'amenée
Quand on fait une pause mon dromadaire essaie de croquer des branches de palmier, c'est pourtant raide, empêche les autres de le doubler, vue la largeur du sentier, ça frotte contre les murets !
A l'arrivée, je descends du dromadaire : plongée vers l'avant puis atterrissage et à ce moment j'entends encore : "donne moi de l'argent !" c'est le chamelier qui essaie de taper, je lui donne quelques dirhams.
Ensuite retour à la Kasbah Asmaa, pour un petit bain bienvenu : l'odeur de la couverture plus celle du dromadaire, cela fait vestiaire de footballeurs.
En bon touriste j'ai sacrifié au rituel de la balade à dos de dromadaire (car au Maroc, il n'y a pas de chameau, celui qui a deux bosses). C'est facile à retenir : le dromadaire c'est celui qui est sur le paquet de cigarettes Camel (fumer tue !)
Si vous voulez frimer, son nom latin c'est Camelus Dromedarius et si moi je déblatère, lui il blatère.
Après le repas à la Kasbah Asmaa, nous traversons la route où nous attendent nos flegmatiques montures. Dans le groupe, certains préfèreraient en avoir un pas trop grand. Personnellement j'en ai un grand, je verrai mieux !.
On s'installe sur une couverture posée sur le dos du camélidé, on appuie sur le bouton et l'ascenseur démarre en 2 phases (comme un hélicoptère) d'abord on plonge sur l'avant puis on se tient pour ne pas rouler vers l'arrière ; volià ça y est on a décollé. on se tient aux oreilles à la crinière, bref comme on peut !
Un chamelier tire un groupe de 4 ou 5 dromadaires reliées entre eux. On longe d'abord la route, vitesse limitée à 60 (on n'a pas été pris au radar !)
puis on tourne à gauche le long de l'oued Drä qui va bientôt se perdre dans le désert (on ne croirait pas qu'il passe pas loin des dunes de Tinfou !), mais pas complètement car il ressortira du côté de Tan Tan pour se jeter dans l'Océan Atlantique.
On longe les berges reposantes de l'oued sur quelques centaines de mètres, la preuve, comme l'indique le titre de l'article :
Mon chamelier essaie de me prendre en photo, mais c'est raté par 2 fois. Ensuite on pénètre dans la palmeraie de Zagora (dont le nom vient de Tazagourt qui veut dire trésor).
C'est une succession de petits enclos entourés de murs en pisé.
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Dans ces parcelles on y cultive des choux, de la luzerne.
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Dans d'autres ce sont des céréales comme de l'orge.
Notez le système d'irrigation avec un canal d'amenée
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Quand on fait une pause mon dromadaire essaie de croquer des branches de palmier, c'est pourtant raide, empêche les autres de le doubler, vue la largeur du sentier, ça frotte contre les murets !
A l'arrivée, je descends du dromadaire : plongée vers l'avant puis atterrissage et à ce moment j'entends encore : "donne moi de l'argent !" c'est le chamelier qui essaie de taper, je lui donne quelques dirhams.
Ensuite retour à la Kasbah Asmaa, pour un petit bain bienvenu : l'odeur de la couverture plus celle du dromadaire, cela fait vestiaire de footballeurs.
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